Une bonne cure et c’est reparti ! Oui, oui, si vous avez une baisse d’énergie professionnelle, un peu moins envie que d’habitude d’aller enseigner les sciences ou la technologie, alors la finale nationale du concours C Génial est faite pour vous.
Déjà le 4 avril dernier il y avait de l’ambiance mais là, au grand palais, en voisin avec les meilleures équipes venues de toute la France… c’était génial tout simplement. Des 5èmes qui vous expliquent comment résoudre des problèmes d’adduction d’eau avec du produit à bulle, des 6ème passionnés de termites mangeuses de carton, des 3èmes créateurs de vortex toroïdaux, rien que ça, et j’en passe puisqu’il y avait 30 collèges et 10 lycées au Palais de la Découverte ce samedi 24 Mai.
Et notre équipe alors ? Et bien elle a été d’entrée classée parmi les 14 meilleurs projets de France et a obtenu pour cela le prix Asconit, du nom du bureau d’étude environnemental du même nom. Les élèves seront invitées à venir faire une journée d’étude scientifique sur le terrain, à réaliser des prélèvements pour participer à une étude d’impact environnemental réalisée par cette société.
Bravo aux « ti Bernardos » donc et bravo à Caroline CHAULET pour l’énergie, l’enthousiasme et la compétence avec laquelle elle mène ce projet qui s’inclus dans celui plus vaste de la découverte des milieux marins et terrestres de Petite Terre.
En Guadeloupe, comme partout en France, le concours C Génial prend de l’ampleur et de plus en plus d’entreprises et de laboratoires se proposent pour soutenir des projets. Il y a donc de nombreuses perspectives d’avenir. De même pour la Finale académique, elle devra sans doute davantage se faire connaître, davantage se faire voir et davantage être soutenue.
Rassurez-vous, avec l’équipe de choc (Marilys CHABAUD et Sidonie BOURGUIGNON) qui prend le relais l’an prochain, vous ne serez pas déçus, ce sera génial !
Stéphane POUPIN
(circulaire rectorale C Génial 2015, lien vers le site pour l'inscription à C Génial Collège: http://www.sciencesalecole.org/concours-nationaux/ , article de Marilys Chabaud et Sidonie Bourguignon)
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