Christelle B. - Term. L 2 - LGT Yves Leborgne - Ste Anne
Pardon.
Les gens commencent à me dévisager, Pourtant je ne fais rien de mal je ne fais que m’exprimer, Ils me reprochent de nuire à la société, Car je ne suis pas bêtement toutes leurs idées.
Pourtant excusez-moi ; J’ai le droit, de ne pas croire aux dieux auxquels toi tu crois, De cautionner des valeurs que tu n’accepteras pas, Et de laisser mon esprit ouvert à tous les débats.
« L’homme est un loup pour l’homme », j’ai compris maintenant ; C’est pour ça qu’il faut profiter de chaque instant. On a la liberté d’expression soit disant, Une fausse parole ta vie se finit en un moment. D’ailleurs je commence déjà à regretter ce que j’ai dit, je n’ai pas envie de recevoir chez moi une bombe made in Syrie. Pardon.
Pardon de vouloir exprimer ce que je ressens, c’est la seule façon de la faire sur le moment mais après les drames que j’ai vus au Paris-Bataclan, fallait vraiment que je sorte de mon cœur tout ces sentiments.
Le dégout, la tristesse, la colère, la haine ; chez moi, ce sont ces sentiments qui s’enchaînent lorsque devant la télé, je passe de chaîne en chaîne et seules des images de guerres et de violences règnent.
Pendant que j’y pense, ce n’est pas à des français qu’ « ils » s’en prennent. Non. « Ils » s’en prennent à une de nos valeurs françaises même. Comme l’impression que nous sommes attaqués au cœur, celui-ci peut se restaurer mais ne le fais pat par peur.
Et c’est justement en tant que française libre d’expression, quand je donnerai mon opinion je ne dirai plus jamais Pardon.
Pardon.